Saturday 11 January 2014

1a. Section supplémentaire (lorsqu’on dépasse 50)

1a. Section supplémentaire (lorsqu’on dépasse 50)

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1 comment:

  1. Je ne crois pas que la cognition est entièrement de la computation ; il est vrai qu’un sérieux questionnement s’est imposé dès cette première lecture : j’ai oscillé d’une position à l’autre avant de m’arrêter ici. Pylyshyn laisse place à plusieurs réponses dans ce texte : il n’impose pas sa façon de voir les choses, comme lorsqu’il dit qu’il serait plausible que la conscience ne soit aucunement du ressort du computationnalisme, qu’elle pourrait être, par exemple, du ressort de la biochimie (bien que je ne suis pas entièrement de cet avis). Ce qui m’amène à parler des équivalences faible et forte. À elle seule, l’étude du comportement n’est pas en mesure de fournir un portrait de ce qui se passe à l’intérieur de l’être cognisant, elle ne satisfait que l’équivalence faible, c’est-à-dire que les entrées et les sorties sont les mêmes, indépendamment des processus internes. Pour que l’équivalence forte soit rencontrée, il est nécessaire d’aller au-delà de la psychologie, bien qu’elle soit tout-à-fait nécessaire ; la biologie, entre autres, doit entrer en jeu afin de comprendre davantage ce qu’est la cognition. Réaliser l’équivalence faible est bien et peut être très impressionnant, mais rien n’est expliqué tant qu’on n’entre pas dans les processus internes qui génèrent, en lien direct avec l’environnement de l’être cognisant, toutes les outputs.

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